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Forum des hommes et
pères divorcés
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Jacques Lavau
Inscrit le: 04 Aôu 2003
Messages: 213
Localisation: Vaulx en Velin
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Posté le: Mer Aôu
18, 2004 1:28 pm
Sujet du message: Préparation d'assassinat, sept
ans aujourd'hui. |
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Préparation
d'assassinat, sept ans aujourd'hui.
Telle que pratiquée par Voltaire, Montesquieu et Swift,
l'ironie
consiste à se déporter de son propre point de
vue, et à exprimer de
l'intérieur tout l'inavouable de la stratégie et
de la bonne conscience
des monstres. Ainsi dans sa Modeste
proposition,
J. Swift a proposé que les propriétaires terriens
anglais, après avoir
sucé la moëlle des pères irlandais,
dévorent leurs fils en rôti ou en
fricassée. Ainsi Montesquieu fit une apologie de l'esclavage
des
nègres, qui ne laissait plus nul doute sur la
monstruosité des
justifications en usage en France, et Voltaire laissa des pages
inoubliables, vantant la beauté des boucheries
héroïques...
Voici aujourd'hui sept ans que j'ai dû, à mon
tour, trouver ce mode
ironique pour prévenir deux vieux amis, et les deux femmes
qui à elles
seules constituent tout ce qui reste de ma famille d'origine, que
quelle que soit la mise en scène convaincante soigneusement
disposée
par les deux conjurées, mon épouse et sa fille
aînée, mon cadavre ne
serait jamais celui d'un suicidé, ni même celui
d'un accidenté
accidentellement, mais bien celui d'un assassiné.
J'étais contraint de
trouver un mode ironique, car l'expérience avait
déjà prouvé que les
destinataires étaient acquis aux deux tueuses, par foi
féministe
aveugle. André avait bien tenté de me joindre au
téléphone, mais mon
épouse avait intercepté la communication,
prétendant que j'étais
absent, en quelque lieu inconnu : j'étais là, sur
le chantier de
maçonnerie de la terrasse. André
s'inquiétait d'une non assistance à
personne en danger, et (quoique prévenu en vain par trois
courriers en
1992 et 1993) il ne savait rien du danger mortel familial, il ne savait
que les emmerdements professionnels. Ce fut par ma mère que
j'avais
appris ultérieurement que les tentatives d'André
étaient bloquées ainsi
par Gazonbleu, qui poursuivait sa stratégie d'isolement
total, et
d'éloignement de tous témoins qui pourraient
compromettre la mise à
mort. Les deux conjurées faisaient la tournée des
voisins et usaient à
fond du charme de mon petit-fils (âgé alors de
quatre mois et demi, et
exceptionnellement dynamique et communiqueur) pour les endoctriner : "Ne
fréquentez mon mari/mon père en aucun cas ! C'est
un ours qui aime la
solitude ! Pis en plus c'est une dangereuse brute ! Pis on va le foutre
à la porte de chez lui car c'est un dangereux
pédophile et violeur de
fillettes, alors vzavez intérêt à
rester dans le camp des vainqueurs !" ...
Dans quatre jours, les deux conjurées allaient s'inviter
chez ma mère
qui hébergaient déjà mon fils et ma
dernière fille, où elles allaient
poursuivre la même propagande de justification du prochain
assassinat.
Il était donc urgent de remettre ladite propagande dans un
contexte
moins mensonger.
Voici ce courrier du 18 août 1997, au pseudonymes
près :
La
châtelaine de Château La Haine
Quartier Le Rafiau
26... Canas
18 août 1997
à : A. T.
Résidence Cap Soleil
83430 Saint-Mandrier
Cher A.,
Dans mon extrême répugnance à
écrire (ainsi du reste qu'à toute
autre forme d'expression verbale), je suis dans l'obligation de faire
écrire par mon écrivain, pour te donner poliment
l'ordre de cesser de
prononcer des mots trop précis, à ne
connaître sous aucun prétexte,
tels que "Non assistance
à personne en danger".
D'ailleurs, celui dont tu t'obstines à prendre des
nouvelles, nous
refusons de le considérer comme une personne. Depuis treize
mois, mes
relations avec cette chose, sont purement patronales. La chose en
question doit tacitement accepter que les travaux que j'ordonne sont
tout, et que ce type-là n'est rien du tout. S'il
exécute des travaux
sur Mon château, alors bien sûr, je vais visiter
les travaux. Et
seulement les travaux.
Bien que je déteste le son de sa voix, et que j'attende
impatiemment que sa bouche soit enfin pleine de terre, il s'obstine
à
répondre aux questions que jamais je ne poserai, et
s'obstine à
déclarer que "Puisque la loi de Gazonbleu reste que les
travaux sont
tout, et moi (lui) rien, alors les travaux eux aussi attendront trente
ans de plus". Comment ose-t-il m'adresser la parole ? Il a
même l'air
de s'imaginer tout de bon que je vais lui adresser la parole, en dehors
des nécessités du service ménager...
Sa contestation est sans espoir.
Je sais bien que j'ai le bon sens avec moi. Le bon sens est simple
à
reconnaître : c'est ce qui est conforme à mon
instinct et à mes
habitudes. Et c'est indiscutable par définition. Je ne veux
pas savoir
pourquoi depuis quatre mois il répète toujours "ça peut bien attendre
trente ans de plus".
S'il conteste Ma Loi Fondamentale qu'il n'est rien, et que mes ordres
sont tout, et se met en grève, alors il n'est plus qu'un
obstacle dans
mes couloirs, que je contourne. Tant pis pour les travaux
d'été, tant
pis pour l'étanchéité du toit et de la
terrasse. Cela attendra son
successeur, qui acceptera tacitement ma loi tacite.
Sa voix ! Moi, dans le huis-clos de Château la Haine, je
continue à
le harceler de reproches qu'elle est trop grosse et trop autoritaire. A
tout hasard, au cas où ça donnerait encore des
résultats. Mais il
commence à se douter de quelque chose, cet animal. A
l'extérieur, on
perçoit bien qu'elle est étranglée et
détimbrée. Une vraie voix de henpecked husband.
Ses élèves en profitent à coeur joie,
du jobard henpecked.
C'est bonnard ! Ma fille aînée en profite
à coeur joie, et le couvre
d'insultes et de quolibets. Ah la brave coeur ! Même qu'elle
l'a poussé
assez à bout pour qu'il soit allé chercher un
seau d'eau et le lui ait
lancé dessus. Depuis, Frédégonde en a
un peu peur. Mais ce revers est
provisoire, car j'en ai profité pour la recruter de plus
belle. On ne
sera pas trop de deux femmes soudées pour
éliminer enfin tous les mâles
de nos vies. (Petit-Fils) est ainsi privé de tout
grand-père, en plus
d'être privé de tout père.
Ça lui fera les pieds, à ce jeune mâle
!
De toutes façons, j'ai toujours profité de tous
les désordres de
mon fils, désorienté par l'effacement de son
père. Le seul moment où
j'ai tiqué, c'est quand il a
généralisé : quand il m'a
opposé à moi
aussi, les mêmes outrages et le même
mépris dont il use contre son
père. Je ne suis pas d'accord : une famille uniparentale,
oui-dà !
nilparentale : et moi, alors ?
Chargé à son arrivée de briser la
grève sans briser le silence,
Sigbert aussi est en grève : outré de ne pas
comprendre, il est parti
pour Le Brusc. Je n'ai plus de main d'oeuvre, et on perd une saison de
travaux. Alors je fais tout ce que je peux toute seule. Peu m'importe
si c'est ce qui est urgent, ou si c'est du jardinage, pourvu que j'en
tranche tacitement en totalité. Et que j'en tire argument
comme quoi je
suis victime de mon homme ; la seule chose qui compte vraiment, c'est
être tacitement méritante et à
plaindre. Peu importe le procédé
utilisé
pour être victime de mes propres choix, en même
temps que toute ma
famille : aucune féministe n'y regardera à deux
fois.
La mère de Jacques est facile à mettre dans ma
poche : elle est
féministe, et expéditive. Ce n'est pas elle qui
s'attarderait à des
considérations subalternes comme "mon propre fils !".
Pas de danger. Oui, cette idiote est un moulin à paroles, et
moi une
avare en communications, mais toutes deux nous édictons sans
écouter.
Nous sommes sur la même iso-émotionnelle,
concernant son fils. Toutes
deux, nous utilisons le mâle-sous-la-main, pour nous venger
de père ou
mère incontrôlables (son père pour
elle, les deux pour moi). Moi, je me
venge surtout de ma mère, et je contrôle
symboliquement mon père ;
c'est tout de même plus subtil que le jeu primaire d'A....
Mon père
voulait toujours m'inciter à réfléchir
avant d'agir pour construire ou
bricoler quoi que ce soit. Et moi je voulais du presse-bouton
immédiat
! Pour me venger de cette souffrance, maintenant j'agis toujours sans
réfléchir. C'est plus sûr. Toute
réflexion à haute voix déclenche mes
représailles.
Quant au corps étranger dans mon château,
l'écrivain sait qu'il
vient de consacrer plusieurs semaines à paufiner un article
de physique
théorique, puis à le mettre en anglais, mais il
dit qu'il a trouvé une
erreur de principe dedans. Ce qui est bien, c'est que depuis, il semble
tourner en rond, et dort très mal. C'est tout bonnard. Il se
dégrade à
vue d'oeil. Il sait bien que ses autres projets sont foutus :
c'était
avant que je l'accule au divorce. On n'enseigne pas la dialectique - il
a d'autres mots plus savants, avec de l'ingénierie dedans,
mais je
prends le seul qui soit dans le dictionnaire - quand chez soi, tout est
antidialectique, phobique et autocratique, et qu'on est constamment
bafoué par sa conjointe. Les autres s'apercevraient alors
aussitôt que
la dialectique, ça
ne fonctionne pas (pas chez moi). Deux interlocuteurs
? Et qui ne m'obéissent pas forcément ?
Holà !
Alors ce qu'on vous demande, Frédégonde et moi,
c'est de laisser le huis-clos mortel finir d'étouffer mon
mari. Ce qu'on veut, c'est pas
de témoins, pas de traces, pas de questions.
C'est trop demander ? On touche au but. Il souffre de toute
évidence
énormément de l'étranglement. Dans
trois semaines, les cancres
l'achèveront. Bien propre, ce ne sera pas nous.
Son moral et ses arrières seront minés comme l'an
dernier, mais en
pire. Chaque année, on fait pis, et il le sait. Il n'a pas
pu obtenir
son congé-formation. Il n'a pas pu en profiter pour
déménager loin de
moi et rejoindre une Université. Il est resté
prisonnier de ses trois
pièces entières de livres trop savants pour moi.
Il est prisonnier de
son poste d'alphabétiseur chez les cancres, et d'une
Economie en
ruines.
La châtelaine de Château La Haine.
L'écrivain biffé et effacé en profite
pour demander des nouvelles d'André et de Suzanne.
Fin de citation.
Suite : André est décédé
depuis. Suzanne est toujours vivante.
Affolé d'être bousculé dans ses
convictions féministes et dans son
immense bénignité, le pauvre André a
multiplié les dénis de
réalité et
les délires d'interprétation, faisant la joie des
tueuses...
N.B. : Une contradiction apparente s'explique par le fait que les
conjurées à cette date espéraient
toujours déclencher une dépression
majeure et un suicide. Cette attente n'était pas
réaliste. Elles
croyaient que parce que j'avais été suicidaire
très actif à seize ans
(et à dix-sept ans, mais elles l'ignoraient), je le serais
encore à 44
ans (en 1988) ou à 53 ans (en 1997). Elles ne percevaient
pas à quel
point je savais où elles venaient en venir.
Dans leur rage d'innocenter les mobsters et autres suicideurs,
certaines gens vont jusqu'à prétendre que tout
suicidé souffrait d'une
anomalie génétique, et que ce n'est là
que le processus naturel
d'élimination des faibles. Gazonbleu et
Frédégonde se sont longtemps
imaginées qu'il suffisait d'avoir les suicideuses (elles)
pour obtenir
mon suicide. L'inconvénient de cette forme d'assassinat, est
qu'elle
est incertaine, et qu'il lui faut quand même un suicidaire
à étrangler.
C'est difficile avec un vieux singe qui connaît la grimace
depuis
longtemps.
Ultérieurement Gazonbleu devint beaucoup plus
réaliste et
dangereuse, et agit par sabotage de freins. Concernant le sabotage du
C35, le piège se flairait à plein nez - j'avais
lu dans Le Crapouillot
le récit par le tueur, de l'assassinat de Jacques
Lemaigre-Dubreuil à
Casablanca, le 11 juin 1955 - et j'ai refusé le
véhicule ainsi préparé,
mais le sabotage du frein du vélo n'a raté ma
mort que de fort peu.
Voir le récit et les photos de ce 18 juillet 1998 sur mon
site.
A suivre.
Aujourd'hui, 18 août 2004,
cela fait 1627 jours que je n'ai plus jamais revu ni entendu ma fille.
2355 jours que j'ai réussi à voir mon petit-fils
cinq minutes, avec chance et persévérance...
2488 jours que ce petit-fils est interdit de voir son
arrière-grand-mère, depuis le 26 octobre 1997,
par violence pure.
Ainsi est consacré le triomphe de la violence perverse. Et
le reste est à l'avenant.
_________________
Les morts ne témoignent pas. Moi si, jusqu'à
présent.
Et cela, les imposteurs et les tortionnaires le détestent,
le détestent, mais le détestent !
_________________
Jacques Lavau |
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Jacques Lavau
Inscrit le: 04 Aôu 2003
Messages: 213
Localisation: Vaulx en Velin
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Posté le: Dim Aôu
29, 2004 4:36 am
Sujet du message: M'enfin ! Kestatan pour avouer ? |
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M'enfin !
Kestatan pour avouer ?
Ah ! Les amis ! Les amis ! Leurs réticences, quand la
réalité
contrevient à leurs idéologies à eux
qu'ils ont ! Intolérable réalité !
Impie réalité !
Oui Suzanne, tu as raison d'exiger que je me culpabilise d'exister
et d'être encore vivant, en
désobéissance aux ordres les plus stricts
et à la meilleure planification de veuvage, car la
culpabilité à tout
propos et hors de propos, c'est tout le chrétien.
Oui Suzanne, le simple fait que je sois rescapé des diverses
tentatives d'assassinat, et encore en état de
témoigner, c'est en soi
un blasphème envers l'Image
Sainte de la Femme, et c'est un crime passible du
bûcher.
Tu permets que j'en rajoute un peu sur la culpabilisation du
rescapé,
la criminalisation du bouc émissaire, pour la restauration
de la Sainte Image de la
Femme ?
M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que tu as toujours
été un gros-boutien
dans l'âme, un hérétique
né ?
M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que tu as toujours
été un ennemi
de la fraude, et que tu es donc un danger mortel pour tous ceux qui
avons, héroïquement et au péril de notre
vie, fondé notre fortune sur
la corruption et la fraude?
M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que tout souffre-douleurs est en
réalité un masochiste qui recherche
inconsciemment les coups, depuis l'âge de cinq
ans ?
M'enfin ! Kestatan pour avouer que tous les torts sont en réalité
du côté du massacré, et que les
massacreurs en ont toutes les excuses ?
M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que dans tout bon assassinat, il faut que chacun y mette du sien
(André T. scribit, 26/08/1997) : les assassins pour bien
tuer sans trop
laisser d'indices, l'Injustice pour bien les innocenter, et
l'assassiné
aussi doit leur faciliter la tuerie et le pillage. M'enfin Jacques !
Kestatan pour avouer que tu n'as pas mis de bonne volonté
à te laisser
zigouiller, que tu as ainsi mis en échec les meilleures
planifications
?
M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que dans ton bol de muesli,
les céréales qui leurrent, ça trompe
énormément ? Kestatan pour avouer
que les céréales qui leurrent, c'est toi (Annie
Lesénécal épouse
Beaurain scribit) ?
M'enfin ! Kestatan pour avouer que toute entrave au
harcèlement du bouc émissaire du jour pourrait traumatiser les
tortionnaires, et serait une atteinte au droit des
tortionnaires ?
M'enfin ! Kestatan pour avouer que tout souffre-douleurs qui se plaint
des persécutions est
en réalité un paranoïaque qui fabule,
et ce dès l'âge de cinq ans - et
en cherchant bien madame, ne sauriez vous trouver quelque
hérédité
paranoïaque lourdement chargée du
côté paternel ? En tout cas, nous on
n'a rien vu, et pourtant les dieux savent à
quel point on fermait énergiquement les yeux !
M'enfin Jacques ! Kestatan pour oublier et supprimer magiquement
l'interminable procès en sorcellerie que te font les tueuses
conjurées?
Kestatan pour satisfaire mon horreur de la
réalité que tu es contraint
de subir, quand elle contrarie mon idéologie à
moi que j'ai ? Kestatan
pour tout oublier de tes enfants et petit-fils ? Moi je m'en passe
très
bien, d'eux ! Taka faire comme moi !
M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que ta femme te reproche de t'être
laissé dominer par elle (Maîtresse
Brigitte Prudhomme – mon avocate en ce temps là -
dixit)?
M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que tu as fait vivre femme et enfants sous
la terreur (Annie Lesénécal
épouse Beaurain, dite Alie
Boron, scribit) ?
M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer qu'on a bien su te faire
renoncer à placer un mot dans le dialogue
passionné entre Gazonbleu et
son père (Michèle Lacroix scribit) ?
M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que tu es un dominant comme tous
les mâles, donc un intégriste,
un masculiniste revanchard, un facho
dégénéré, un salopard qui
s'ignore, etc. etc. (Michèle Dayras et son Klub
S°S Sexizm scribunt) ?
M'enfin ! Kestatan pour avouer que tu es un violeur de fillettes
puisque tu en as tout l'équipement physique (comme toute
femme est une
pute puisqu'elle a tout l'attirail nécessaire) ?
M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que nous avions mille fois
raison de te foutre à la porte de chez toi, et de confisquer
tous tes
biens, puisque tu es de trop dans le territoire de Gazonbleu, et que tu
laisses bien savoir que tu lui obéis, mais que tu n'en
penses pas moins
?
M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que si tu couds, que si tu
menuises, que si tu écris, que si tu répares, que
si tu soudes, tu
ponces, tu peins, tu maçonnes, tu bûcheronnes, tu
sarcles, du délierres
les arbres, que si tu berces, tu baignes et torches, que si tu nourris
et protèges, alors t'es pas un vrai mec, qui serait riche,
notable
dominant, avec tout plein de territoires à me donner pour
mon triomphe
social à moi, et que j'ai rudement raison de te bazarder
quand j'ai
trouvé une vraie nana qui elle est riche et territoriale ?
M'enfin ! Kestatan pour avouer que l'erreur de jugement que fut de
t'avoir choisi pour l'ambition de grimper dans l'échelle
sociale, elle
mérite ma vengeance sans pitié, et puis que
ça va être du gâteau, car
cet imbécile de Jacques, il n'est même pas foutu
de se battre, et il
n'est même pas foutu d'acheter autant de faux
témoins que moi, et qu'il
est tellement bête qu'il veut pas faire de faux, ni acheter
le faux
témoignages, voilà pourquoi j'ai rudement raison
de charger le bouc
émissaire de tous mes péchés, et de le
chasser dans le désert en
raflant tous ses biens... Kestatan pour l'avouer ?
M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que ta retraite est minable
et ne te permet pas de vivre ? Raison de plus pour te bannir de chez
toi avant que les chiffres officiels n'en soient accessibles !
M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que quand j'ai mon compte
d'enfants, je n'en ai plus rien à foutre de
l'hétérosexualité, et qu'un
mari qui vieillit et dont la retraite sera minable n'est qu'une bouche
inutile, un adulte surnuméraire qui porte atteinte
à mon droit d'être
le seul adulte de mon Château La Haine à moi que
j'ai ?
M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que l'inconscient est
omniscient ? Kestatan pour avouer que tout escroqué
était en profonde
complicité avec l'escroc, que tout volé
était en profonde complicité
avec le voleur (ou la voleuse), et est donc le véritable
coupable du
vol qu'il a subi ?
M'enfin ! Kestatan pour avouer que moi Juge Zoreilles, injuge aux
affaires antifamiliales, j'ai bien raison de condamner le
rescapé et
banni à payer rançon aux tueuses, pour prix de la
vie sauve ?
M'enfin Monsieur Lavau ! Kévzattendez pour avouer que
puisque nous
sommes entre hypocrites, ce corps étranger de Monsieur
Lavau, seul mâle
et seul scientifique de l'Audience, est forcément le plus
fourbe et le
plus faux de nous toutes, et que s'il écrit comment est
organisée notre
campagne de calomnies, alors que ne dissimule-t-il pas ? Vous en
êtes
bien d'accord, injuge Zoreilles à nous que nous avons ?
M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que c'est pure violence
(Gazonbleu dixit, au TGI - Temple de Grande Inexactitude) si tu as
enregistré l'entrée vociférante de
Gonflebouffigues dans ta classe ?
Kestatan pour avouer que c'est pure violence perverse de ta part si tu
as couché par écrit comment tu as
été jeté à terre par deux
paumés,
seize heures après qu'ils y ont été
autorisés et couverts par le dit
Gonflebouffigues, proviseur du L.P. des Catalins ?
M'enfin
m'sieur Lavau, Kévzattendez pour culpabiliser,
déprimer et vous effondrer ? V'voyez pas qu'on est tous
contre vous
(et j'en prends soin personnellement) ? Croyez-vous que vos
élèves font
le poids contre mes ordres de boycott des classes ? (Proviseur
Gonflebouffigues déjà cité, oeuvres
orales).
M'enfin ! Kestatan pour avouer que tes habitudes de rigueur
scientifique, de doute systématique, d'exigence de
fondements
expérimentaux et de preuves expérimentales, sont
un outrage au droit
sacré des sectes les plus puissantes à
régenter tout l'imaginaire et
chaque détail de la vie de son prochain ?
M'enfin ! Kestatan pour avouer que Nazional Femizm vaincra, et que tout
réticent comme toi doit être vaporisé ?
M'enfin ! Kestatan pour avouer tout ce qu'il nous plaira de te dicter ?
Bon. Reprenons la communication privée comme au
début. C’est
certainement très louable de me presser d’avouer
quelques torts
diplomatiques, histoire de noircir la victime pour blanchir le gang des
bourrelles - féminisme oblige. Je serai toutefois fort
intéressé
d’apprendre quelles furent tes démarches pour
inciter le gang des
tueuses à se reconnaître des torts, et de quelle
réponse tu fus
honorée, Suzanne.
J’ai été d’autant plus
irrité de cette nouvelle agression à la
victime pour blanchir les bourrelles, que cela s’ajoute aux
nombreuses
autres manœuvres de culpabilisation et de paralysie
accumulées
(féminisme fanatique oblige) par les deux autres
destinataires de ce
fameux courrier du 18 août 1997, où je
prévenais que quelle que soit la
mise en scène élaborée par le gang,
grâce au huis clos de Château La
Haine, éloigné de tout, mon cadavre ne sera
jamais celui d’un suicidé,
ni celui d’un accidenté accidentellement, bien
celui d’un assassiné.
Rappels du cadre légal :
Article 221-3
NCP (Nouveau Code Pénal) : du meurtre avec
préméditation.
Le meurtre commis avec préméditation constitue un
assassinat. Il est puni de la réclusion criminelle
à perpétuité.
Article 223-1
NCP : de la mise en danger d’autrui.
Le fait d’exposer directement autrui à un risque
immédiat de mort
ou de blessures de nature à entraîner une
mutilation ou une infirmité
permanente par la violation manifestement
délibérée d’une obligation
particulière de sécurité ou de
prudence imposée par la loi ou le
règlement est puni d’un an
d’emprisonnement et de 100 000 F d’amende.
Article 121-4
et 121-5 NCP : de la tentative de crime.
Art. 121-4 : Est auteur de l’infraction la personne qui :
1) Commet les faits incriminés
2) Tente de commettre un crime ou, dans les cas prévus par
la loi, un délit.
Art. 121-5 : La tentative est constituée dès lors
que, manifestée
par un commencement d’exécution, elle
n’a été suspendue ou n’a
manqué
son effet qu’en raison de circonstances
indépendantes de la volonté de
son auteur.
Article 121-7
NCP : de la complicité.
Est complice d’un crime ou d’un délit la
personne qui sciemment,
par aide ou assistance, en a facilité la
préparation ou la
consommation.
Est également complice la personne qui par don, promesse,
menace,
ordre, abus d’autorité ou de pouvoir aura
provoqué à une infraction ou
donné des instructions pour la commettre.
Jacques Lavau
Aujourd'hui, 29 août
2004, cela fait 1638 jours que je n'ai plus jamais revu ni entendu ma
fille.
2366 jours que j'ai réussi à voir mon petit-fils
cinq minutes, avec chance et persévérance...
2499 jours que ce petit-fils est interdit de voir son
arrière-grand-mère, depuis le 26 octobre 1997,
par violence pure.
Ainsi est consacré le triomphe de la violence perverse. Et
le reste est à l'avenant.
_________________
Jacques Lavau |
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