Les faux témoins et leurs contradictions
Bien que je sois banni de chez moi depuis 1997, je n'ai pris connaissance des faux témoignages qui suivent, qu'au plus tôt le 29 mars 1999, voire un an plus tard, en mai ou avril 2000. Et nous sommes cinq ans plus tard. Il est donc clair que j'ai énormément retardé la rédaction de ce chapitre, qui m'a coûté sang et larmes à commencer d'écrire. Que s'est-il donc passé ? Quels étaient les obstacles ? Ces obstacles sont-ils tous particuliers à l'auteur, ou en est-il qui sont largement répandus ?
Les points particuliers : de ma vie entière, je n'ai su faire qu'une seule chose, être utile aux autres. Revendiquer pour moi, lutter pour moi-même, impossible... L'habit de Chicaneau que ce procès en sorcellerie me forçait à endosser en défensive, m'arrachait la peau. Et les flots de calomnies déversés par ces femmes gorgées de haine, me faisaient vomir, me font toujours vomir.
Je n'ai réussi à commencer ce travail, replonger les mains dans leur purin, que dans la stricte mesure où j'ai besoin de présenter un exemple de méthodologie détaillée, pour les autres victimes de calomnies similaires. Vous aurez plus de détails sur le site communautaire que j'ai fondé : Caton, censeur de la République. Il faut donner aux autres victimes de l'amateurisme et du jeanfoutrisme du conglomérat judicaire, les moyens de l'encadrer et le contrôler avec professionnalisme. Coopérer avec professionalisme, mais à distance, cela nous imposait le choix d'un logiciel de groupware (ou coopération) du monde Libre. Il est en test, déployé en site réel de production, mais encore en version provisoire. Toutefois, les autres utilisateurs seraient perdus s'ils n'ont un guide de méthodologie. Nous allons donc détailler comment préparer ces faux témoignages, pour les incorporer au Musée des horreurs, qui sera publié.
Etablir un bordereau numéroté des pièces concernées. Si votre avocat est consciencieux, il a déjà établi un tel bordereau. S'il/elle est négligent(e), vous devrez établir ce bordereau récapitulatif à sa place.
Numériser toutes les pièces, à la résolution 300 dpi, au format png pour le noir et blanc (format gif à défaut), jormat jpeg si vous numérisez en gris ou en couleurs. Il est important de choisir une résolution uniforme, pour faciliter les manipulations, par exemple pour raccorder la fin de la page 2 et le haut de la page 3, remettre ensemble les moitiés d'une même phrase.
Sauvegarder toutes ces pièces dans un répertoire coffre-fort, avec un fichier bordereau de pièces, permettant de les retrouver toutes par leur nom et une brève description.
Imprimer un exemplaire de contrôle de chacune de ces pièces.
Sur chacune surligner au fluo, les noms propres à anonymiser pour la publication. On laissera subsister les noms des magistrats, des experts, des avocats, et des huissiers. Les noms de lieu des tribunaux seront conservés.
Faire une copie dans un second répertoire de toutes ces pièces. Celles là vont recevoir l'opération de blanchissement des noms propres à cacher. Utiliser un logiciel de retouche d'images, et l'outil gomme. Dans le monde Libre, The Gimp est excellent pour cela. Pour la clarté des exposés, vous pouvez choisir d'écrire des pseudonymes pour ces personnages. Ne laissez jamais un doute : La fonte et l'aspect des pseudos ne devra pas ressembler à celle de l'original.
Idéalement, mais cela coûte plus cher, il serait bien de numériser aussi les images des pièces originales avec un OCR, qui vous produira une copie d'aspect raisonnablement fidèle mais en mode texte, de préférence au format pdf. Avantage : l'extraction de textes pour citation en sera facilitée. Inconvénient : il faut un OCR, et ils sont tous payants. Inconvénient modéré : les prix ont considérablement baissé, pour des performances devenues vraiment bonnes.
Préparer les extraits graphiques de ces pièces, que vous pourrez rapprocher les uns des autres pour confondre les menteurs, ou insérer dans votre texte. Prévoir deux versions, une avec les noms réels, c'est celle qui ira au tribunal, une avec les pseudos ou les blancs, qui sera publiée.
Dans un traitement de texte, ou un mini-éditeur comme celui que vous trouvez sur caton-censeur.org, insérer ces éléments graphiques là où c'est nécessaire.
Catégorisez, ou si vous préférez, qualifiez les types de mensonges et de fantasmes que vous aurez ainsi prouvés. Il pourra arriver qu'on discute et remanie votre qualification de ces allégations.
Quand ce sera fait, faites incorporer par un administrateur votre contribution au Musée des horreurs. Toujours en double exemplaire : la version originale, avec les noms réels, en réserve pour faire face à toutes les actions en (in)justice de la part des faux témoins, et la version publiable, qui aura une audience aussi large que possible.
« Gen’viève
avec
son père, voilà le vrai mariage !
Dialogue
passionné, et Jacques n’y place mot.
Il a lu bien trop d’livres, hors de mon pré
carré !
Des trucs que j’connais pas ! Pourtant j’suis prof
d’anglais !
J’peux
pas trouver un homme, que’j’guid’au
doigt, à l’œil,
Qui suive mes maximes, qui croive à mon dieu.
Non Jacq’ne fait pas l’affaire, il est trop
autonome.
S’il emballe ses outils, ça prouve
qu’ils
n’servaient pas ! »
Prenons ce passage, où Mchllcrx contredit formellement Alie Boron :
Tiens ? Un homme effacé ? Mais Alie Boron présentait au contraire :
et :
Une des femmes présente votre serviteur comme effacé et éliminé des conversations passionnées entre son épouse (redonnons-lui son pseudonyme de Gazonbleu) et le père de ladite épouse. Alors que l'autre présente un dictateur mégalomaniaque, manipulateur, terroriste, un clone de Jean-Claude Beaussart. Donc au moins une de ces deux femmes ment. Voire les deux. Mais ça ne fait rien ! C'est bien assez bon pour la justice ! Plus c'est gros, mieux ça passe...
Donnons au lecteur le fin mot de l'affaire, concernant l'élimination de votre serviteur de toutes les décisions : de juillet 1995 à Pâques 1996, à l'occasion de premiers voyages avec le C35 pour un déménagement préliminaire vers un HLM dans la ville de « Nagoumari », votre serviteur avait eu le temps de remarquer que notre déménagement, vu le bordel monstre que tous deux, fourmis ayant peur de manquer, avions accumulé, dépassait largement nos seules forces physiques, et qu'il fallait réserver les services de déménageurs professionnels. Gazonbleu, en bonne avaricieuse, avait refusé net, s'était réservé toutes les décisions, avait refusé de prendre des décisions à temps, à cause du coût. Elle avait fini par ne réserver qu'un camion de 45 mètres cubes, largement insuffisant. Cela, elle ne s'en est pas vantée... On déverse donc sur le bouc émissaire toutes les responsabilités qui n'appartiennent qu'à la chèfe de guerre.
Durant ce mois d'août 1996, j'ai donc fait un ou deux voyages supplémentaires en solitaire avec le C35 : 750 km à chaque fois, de Saint-Quentin à hmm... "Canas". Les pneus étaient tellement chargés que je devais les gonfler au maximum pour limiter leur surchauffe, et j'ai dû en changer un d'urgence à sept heures du soir à l'entrée de Reims : il se prenait une hernie, l'éclatement était proche. Pour le déchargement en solitaire à l'arrivée, heureusement que j'avais fabriqué un chariot de fortune, déjà lors du premier déménagement en 1995, vers "Nagoumari".
Des preuves de mes problèmes articulaires ? Ah, évidemment que Gazonbleu a fait main basse sur toutes mes radiographies et tous mes dossiers médicaux, et les a fait disparaître... Héhéhé ! On n'est pas criminelle organisée pour rien !
Résultat : je ne puis plus prouver qu'en 1996, donc à 52 ans, je souffrais depuis de longues années déjà de douleurs persistantes dans les vertèbres lombaires et les hautes dorsales, avec becs de perroquets, ainsi que dans les articulations des coudes, des poignets, des épaules, et des genoux. Voici le seul certificat médical transmis après coup.
Reprenons avec les affabulations de Mchllcrx « Il était en contemplation devant des bocaux » Elle y était ? Elle l'a vu ? Mchllcrx n'est jamais entrée chez nous. Cela n'aurait pas cadré avec son scénario.
Voici, vu par le délire méprisant de Mchllcrx, la description de 4 traverses de chêne, de 14 x 14 x 65 cm, que nous avions volées en septembre 1972, sur le port de Granville. Les premiers temps, ces larcins supportaient un canapé primitif, que j'ai ensuite transformé en un vrai lit, en fabriquant deux coffres de rangement en dessous. Début juillet 1975, ces larcins servirent à surélever le petit frigo. En effet, notre première née, alors âgée de juste six mois, escaladait le frigo depuis sa chaise haute. J'ai mis deux traverses de chêne en dessous, et... et Frédégonde, enchantée du défi, escalada deux fois plus vite ! Bon, alors j'ai mis les quatre traverses, et découragée par les 28 cm de plus, Frédégonde finit par renoncer aux joies de l'escalade.
Fourmis ayant peur de manquer, élevés par des familles ayant connu la guerre, nous avions encore ces traverses dans un coin du grenier. Et maintenant, lisons Mchllcrx :
Et voilà le fantasme : « Il a fallu qu'il me le donne tout scié, alors que, etc.. » Mais bon, pas grave, hein ! C'est bien assez bon pour pour la justice ! Bien entendu, quand des bois viennent d'être sciés, il y a des traces de sciage, des faces fraîchement sciées. Or ces traverses avaient été créosotées en 1973. Il aurait suffit d'un coup d'oeil pour démentir le fantasme du sciage.
Oh, mais au fait ? On scie avec des outils ? Avec une scie ? Me gourre-je ? Parce que la même Michllcrx, qui n'est jamais, jamais entrée chez nous, affirme avec une belle conviction, comme si elle y avait été :
Mchllcrx va vous faire croire dans le paragraphe suivant, qu'elle a vu simultanément moi-même, et mes deux filles, et cela donc durant le mois d'août 1996, à Saint-Quentin. C'est bien sûr un mensonge éhonté, mais pas grave, hein ! C'est bien assez bon pour la justice ! Notre cadette avait rejoint sa grand-mère au Brusc dès la fin des classes, directement depuis "Nagoumari". Quant à l'aînée, sitôt son contrat de baby-sitting terminé, elle a immédiatement pris le train pour rejoindre sa grand-mère et sa cadette à l'autre bout de la France, nous laissant sur les bras la totalité de son bordélique bordel, entassé au salon. Or Frédégonde n'avait prévu aucun logement où que ce soit, aucun déménagement vers aucun lieu. Rien, aucun plan, aucune organisation, excepté le parasitisme à l'extrême. Nous avons appris en octobre 1996 qu'elle était enceinte depuis juin. Père inconnu.
Il a fallu solliciter mon ami Pierre C..rt..s, radio-amateur 1BJR, pour stocker chez lui le boxon de Frédégonde, afin de pouvoir faire les emballages et les travaux. Je suis ensuite allé seul à Noël récupérer tout cela chez Pierre, puisqu'entre temps, après avoir parasité sa grand-mère à paris, Frédégonde avait fini par atterrir chez nous, à "Canas". En 1996, Mchllcrx n'avait que le plus profond mépris pour le parasitisme de Frédégonde. Observez maintenant son revirement, par complaisance misandre :
Et voilà le travail ! Alors ? Quand l'ont-elles donc composé, ce roman ? A Noël 1997, lorsque mon épouse a emmené nos enfants et mon petit-fils à Saint-Quentin, pour aller acheter des faux témoins, et faire taire les témoins à décharge. Les conjurées ont usé d'abondance du charme de mon petit-fils.
Voici maintenant la transformation de l'histoire de la cuisinière à charbon, pour les besoins de la chasse au bouc émissaire. Cette cuisinière de fonte émaillée était un fort lourd monument, une Arthur Martin, que Gazonbleu avait tenu à prendre au décès de sa grand-mère, en 1981. Lourde, mais trop petite : elle ne tenait pas la nuit. Elle a donc encombré notre cuisine jusqu'après notre départ en 1995, n'ayant servi qu'un seul hiver. En 1996, Gazon a bien dû se rendre compte qu'elle ne voulait pas l'emmener à Canas, sans pour autant être capable de se résoudre à la donner aux Emmaüs... C'est que pour une avaricieuse, donner est le pire des péchés... C'est donc Mchllcrx qui fut la victime désignée pour donner la cuisinière aux dits Emmaüs, à la place de Gazonbleu, et en attendant, de la stocker dans un appentis. C'est moi qui ai fait seul le dernier voyage, en février 1997 avec le C35, pour finir de débarrasser les derniers amis que nous avions encombrés de nos indécisions de fourmis ayant peur de manquer. Voici maintenant comment elle raconte la chose :
Pour faire d'une phrase énonciatrice simple un mensonge, il y a de nombreux procédés courants :
Remarquez que Mchllcrx aussi se plaint d'avoir été accaparée par une personne désinvolte, sauf que tout soudain, c'est moi qui devient ce parasite. Alors qu'on ne peut soupçonner Véronique C d'avoir fait une telle confusion : en 1988, 1989, 1990, 1991, 1992, je n'ai pas pris de vacances du tout. Sauf deux semaines en juillet 1990, en Bretagne à l'invitation des amis "Até", mais pas du tout au Brusc. En 1993, je les ai écourtées pour aller passer sur table d'opération. Véronique C ne m'a rencontré qu'en 1994.
Madame Soeur confirme en deux
passages son exploitation par Gazonbleu, puis être devenue
indésirable dans Château La Haine :
Tandis que cela avait commencé ainsi :
Sur la passion du larcin, qui a contraint Madame Soeur à changer de camp, à se départir provisoirement des ses préjugés misandres, voici comment elle commence son témoignage :
Le parasitisme par le couple de conjurées mère-fille est confirmé, en termes laconiques, par l'ex-voisin "Plantefayard" :
« J’avais
l’monde à mes pieds !
Tous buvant mes paroles !
François était baveux, tout petit
subjugué,
Les yeux écarquillé, devant ma toute-science :
L’enfant dans le parent, le parent dans l’enfance !
Au pied d’ma souv’raineté, sans faire de
soumission,
Un seul n’y croyait pas, c’était
l’mari
d’Geneviève !
Faisons lui son affaire, à cet homme insoumis !
Faisons d’cet incroyant, la violence incarnée ! »
Antoine de Saint-Exupéry nous l'avait précisé : les vaniteux n'entendent que les compliments. Smnsfrt concluait là un stage de deux ou trois jours dans le cadre de la MAFPEN, avec quelques professeurs, dont mon épouse, et dont François, professeur de physique timide, et célibataire âgé, remarquable birdwatcher. Elle se pavanait comme un dindon, tranchant triomphalement de tout, magnifiée par les questions inquiètes et obséquieuses de François. Indéniablement, j'étais le seul à ne pas être sous le charme, à ne pas être subjugué par la matriarque triomphante. Je me suis donc tu.
Vous connaissez l'Analyse Transactionnelle ? C'est toujours un bon succès de librairie... L'indéniable veine des pionniers, Eric Berne, Claude Steiner, est depuis longtemps épuisée, mais c'est toujours un bon succès commercial, grâce à sa superficialité, qui convient à merveille à ceux qui veulent seulement devenir de meilleurs manipulateurs de leurs prochains. Les analystes transactionnels en France forment une chapelle à la doctrine fermée. Une chapelle de plus, en circuit fermé, dans une psychologie gravement balkanisée...
Mais l'Education Nationale est un continent tellement sous-développé, qu'un zélateur de l'AT peut y faire de fort bonnes affaires, si il/elle a de bonnes entrées pour accéder aux budgets de la formation permanente, la MAFPEN. C'est sur ce marché qu'opérait Smnsrft.
Smnsrft a sur Mchllcrx l'avantage que elle, elle est entrée chez nous une fois : elle a traversé le grand couloir qui longeait mon bureau et le salon, le petit couloir qui donne à gauche sur la cave sous l'escalier, et à droite sur la véranda, puis la cuisine pour sortir dans la courette. Elle a donc décidé que le salon n'existait plus, que mon propre bureau occupait donc les deux pièces, et que la véranda était "les pièces communes" :
Dans le salon, il y avait le monumental bureau massif de mon épouse, le piano, la hifi, la TV, la cheminée, un canapé, deux fauteuils, une chauffeuse, les disques, une grande bibliothèque construite de mes mains, et quatre autres qui venaient de chez Fly. Et hop ! Disparu, tout cela ! Mais ce n'est pas grave, ce niveau de mensonge, c'est bien assez bon pour la justice !
Dans la véranda, Smnsrft voit deux établis. Or il n'y en avait qu'un seul, en tubes carrés peints en bleu ciel et carreaux vernissés, construit par notre soudeur Robert, à Saint-Méen le Grand. En revanche, prise d'une de ses crises de grattage, mon épouse avait un jour gratté à blanc toute l'enduction d'huile de lin de notre table de cuisine en pin massif, puis abandonné là l'épave ainsi fragilisée sans protection. Cela, elle ne s'en est pas vantée... C'est cette épave de la crise de grattage, que les conjurées on fait passer à Smnsrft pour un second établi : transférer sur le bouc émissaire toutes les fautes de la chèfe de guerre !
En revanche, je confirme que j'avais bien posé un verrou sur la porte de mon bureau : mes clients me confiaient des documents et fichiers confidentiels pour travaux informatiques. De plus, j'avais quelques stocks de composants informatiques pour les dépannages et la revente. Or mes deux aînés mettaient en pratique le culte du larcin et des rapines que leur mère leur enseignait depuis toujours.
Chacun aura remarqué combien ces dames de très petite culture et de grande vanité ont un énorme problème, et avec mes livres, et avec mes outils. Comme si cela menaçait leur fantasme d'omniscience innée, et de supériorité innée...
En bonne vaniteuse, Smnsrft ne s'aperçoit même pas qu'elle avoue que son témoignage est rémunéré en nature, puisque mon épouse s'est emparée de la totalité des biens communautaires :
On se reportera utilement au cadastre et aux photos de la maison et de la chênaie, pour comprendre combien s'emparer de tous les biens communautaires était pratique à mon épouse pour acheter les faux témoins :
Les photos qui suivent sont de
qualité déplorable
: je les ai prises le 18 juillet 1998, avec un appareil jetable
acheté au Centre Leclerc, après
que l'assassinat si bien combiné, par sabotage de frein, ait
miraculeusement échoué. C'est fou comme "un accident est si vite
arrivé", quand
vous contrariez les plans de la criminalité
organisée...
Voici le coin Nord-Est de la maison. Les deux fenêtres de
part et
d'autre du coin sont celles de la chambre de mon fils. Lors de la
tempête du 31 décembre 1996, toutes nos
gouttières
ont été bouchées par le gel, et la
chambre de ma
fille cadette a été inondée. J'ai
dû aller
acheter en urgence une échelle de 9,80 m, et durant toute la
soirée, j'ai curé toutes ces
gouttières, à
la pelle d'horticulteur. Pendant que mon beau-père accroupi
dans
les combles mortellait les fissures entre les moëllons.
Et voici la face Sud, prise
à contre-jour en :fin
d'après-midi. La grande fenêtre est celle de la
chambre ma
fille cadette. La fenêtre large et basse du haut donne sur
des
combles non aménagés.
Façade Ouest, la
plus soignée.
A gauche du capot du C35, la fenêtre sur parking,
où
s'était trouvé mon bureau, avant expulsion de
chez moi.
Une grande partie de son contenu, la partie jugée sans
valeur
par ces dames, est entassée dans le C35. A
l'étage, la
fenêtre de gauche est une des fenêtres du salon.
Celle au
dessus du C35 donne dans la cuisine. La totalité de mon
appartement à Vaulx tiendrait dans le seul salon de cette
maison
: 50 m². La terrasse était terrain de jeu du chat
Diavol,
il y jouait longuement avec une souris, comme les chats savent le
faire. En hiver, il ramenait surtout des mésanges.
Les deux terrasses Sud non couverte, et Ouest couverte, celle que vous
voyez, faisaient un terrain de patinage pour la cadette.
Il faut dire que ce 10 avril 1991, Gazonbleu avait du souci à se faire, mais elle ne s'en vantera pas : le 25 février, elle et sa fille aînée, avaient acheté pour 25 000 F de canapés de cuir, dans le projet d'en faire la revente au détail, aux dépens d'une de ses collègues. Du moins c'est ce qu'elle a prétendu quand j'ai découvert le port au roses : le 25 novembre, Cuir Center voulait livrer et se faire payer. J'ai enregistré les transactions pour nous dégager de ce très mauvais pas. La transcription, aux bredouillements et aux souffles près, est chez l'huissier.
Au moment où, cette fois-là, on inscrivait les noms sur les tessons, on dit qu'un paysan, un vrai rustre qui ne savait pas écrire, tendit son tesson à Aristide, comme au premier venu, et le pria d'y inscrire le nom d'Aristide. Celui-ci, étonné, lui demanda si Aristide lui avait fait quelque mal : "Aucun, répondit-il, et je ne connais même pas cet homme ; mais je suis agacé de l'entendre partout appeler le Juste." A ces mots, Aristide ne répondit rien ; il inscrivit son propre nom sur le tesson et le lui rendit".
Smnsrft me hait parce qu'elle est une charlatane et imposteuse, et qu'elle s'est sentie en danger d'être démasquée. Elle ne peut parader comme elle le fait que devant des ignorants. Elle n'a aucun diplôme en psychologie. Si je n'avais à l'époque suivi aucune études universitaires de psychologie, du moins j'en avais largement autant lu qu'elle, et j'en savais à peu près autant qu'elle. Son bluff était intenable devant moi : mon éthique intransigeante me vaut des haines tenaces de la part des faussaires, des imposteurs et des tortionnaires, mais des amitiés indéfectibles de la part des gens honnêtes.
La haine de Mchllcrx est plus délicate à comprendre, et repose bien plus profondément sur la confusion mentale : confusion entre les générations en premier, entre les gens ensuite, entre l'extérieur et l'intérieur. Enfin, l'explication est largement sociale : Mchllcrx a changé les faits, et adopté le mensonge dicté, pour rester dans l'illusion groupale "féministe", c'est à dire en réalité misandre. A mépriser et calomnier les boucs émissaires, elles se rehaussent à leurs propres yeux.
Imposteuse ? Oui, elle aussi. Mchllcrx multiplie les gestes ostensatoires de "charité chrétienne", et les signes sentencieux, les pannonceaux sentencieux dans sa maison. Toutefois quand on la lit, et vous la lirez intégralement dans l'annexe qui suit, on constate que ce discours chrétien n'est que du plaqué, du cache-haine sur un fond de pensée manichéen, où elle se pense appartenir aux Bons, ayant le privilège de fustiger les Zautres, tous méchants.
Mchllcrx s'inscrit pleinement dans la guerre sexiste. Son cas relève donc de l'ethnopsychiatrie : il y a eu négociations constantes entre les délires individuels de Mchllcrx, et ceux de ses groupes d'appartenance, qui lui ont fourni autant de références hasardeuses, dans lesquelles elle s'habille pour être au goût du jour et se faire prendre pour ce qu'elle n'est pas..